Articles Tagués ‘gaz de schiste’

Le point, un an après la bataille gagnée, du @MidiLibreAles sur le devenir des collectifs :

Fin 2017, les permis de recherche étaient supprimés dans la région.

C’était il y a un an. Début novembre 2017, les comités anti-gaz de schiste du Gard et d’Ardèche criaient victoire. Sur son site internet, le ministère de la Transition écologique venait de publier sa carte actualisée des permis de recherches en hydrocarbure : les permis de la Plaine d’Alès, de Navacelles et du Bassin d’Alès avaient disparu.

La suite sur :

https://www.midilibre.fr/2018/11/05/un-an-apres-que-deviennent-les-comites-anti-gaz-de-schiste-du-gard,4755021.php

Depuis la semaine dernière, la société Gallego Technic Geophics installe des géopohones (capteurs sismiques) sur 14 communes du Nord Béarn dont Garos.

4000 capteurs destiné à sonder les sols seront installés dans les prochaines semaines.

Quelques fois cela a été fait sans l’accord des propriétaires.

Les sociétés Investaq et Gallego s’en sont excusés ce mardi après midi.

Des lettres d’excuses auraient également été envoyées.

Le point sur les premières installations en images.

voir ⇒⇒⇒⇒

 

Bruit de bottes sur le permis de Claracq, le Béarn à rebours de l’Histoire ?

Les collectifs citoyens français « non au pétrole et gaz de schiste et de houille » opposés à tous nouveaux forages ainsi qu’à toutes activités de recherche d’hydrocarbures et appelant urgemment à une transition énergétique permettant de respecter l’Accord de Paris de décembre 2015 (1), dénoncent les projets d’activité sur le permis exclusif de recherches d’hydrocarbures « Claracq » impactant une partie des Pyrénées-Atlantiques 64, en Béarn.

Publié le  par GarrigueVaunage

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LES COLLECTIFS DÉNONCENT LA PROLONGATION DU PERMIS DE SAINT-­GRIÈDE

Beaucoup de monde à Auch pour soutenir les collectifs locaux

 

L’Algérie a fait appel à trois firmes internationales pour lancer des études en vue d’évaluer son potentiel en énergie au niveau de l’offshore. Ces trois études actuellement en cours seront renforcée très prochainement par une quatrième.

« L’exploitation du gaz offshore par l’Algérie est un objectif bien plus réaliste, dans l’état actuel des choses, que l’extraction, à moyen terme, du gaz de schiste, une énergie non conventionnelle dont on est encore loin pour de multiples raisons ». C’est en substance ce que nous a déclaré un responsable  d’Alnaft (Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures) qui a préféré garder l’anonymat.

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